De quoi sera faite la future zone commerciale ?

Au cours du conseil municipal du 14 janvier dernier, lors des échanges concernant la future zone commerciale, Madame le Maire répondait qu’elle n’avait pas la maîtrise des commerces qui s’installeront, que c’était à M. BIZZARI et qu’il était impossible de s’opposer à certains types d’activité.

Hier, « Comment sauver le commerce de proximité » était le dossier du dimanche de Var-matin.

Dans un encart au bas de la première page, « Les zones commerciales dans le collimateur », Nicolas Gillio, expert du CEREMA (Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement) pointait l’aveuglement des élus locaux qui veulent absolument que ces installations soit sur la commune plutôt qu’à côté et celui des investisseurs qui ont continué à développer des mètres carrés alors que les habitudes des consommateurs ont changé.

Un passage m’a particulièrement intéressée, la réponse à la question Comment inverser la vapeur ?  (Des dégâts causés par ces zones), voici un extrait :

 

 Si je suis maire et que je veux fortifier le centre-ville, je ne peux pas autoriser l’ouverture de centres commerciaux en périphérie. Si je veux des boutiques de vêtements au cœur de la ville, je ne peux pas autoriser un centre commercial qui propose cette offre.

Nous reprenions d’ailleurs ces mêmes arguments dans notre article « De l’audace » (tiré du tract distribué aux Pugétois avant le premier tour), à relire ici : https://mlfm.fr/2020/03/07/blog/de-laudace/.

Nous restons persuadés que des solutions existent. Madame Le Maire a trouvé un accord avec M. BIZZARI pour participer au financement du futur rond-point, elle peut en trouver un pour créer, en concertation avec lui, une zone utile et réfléchie sur les besoins réels des Pugétois sans sacrifier quiconque. Mais pour cela, il faut effectivement de l’audace et surtout, surtout, en avoir envie.

Le dossier du dimanche complet à lire sur Var-Matin

Stade fermé pendant 1 mois !

Quelle bonne idée de la majorité d’interdire le stade aux associations du 12 mars au 11 avril !

L’histoire est la même chaque année. Ce n’est pourtant pas une surprise : le gazon naturel demande de l’entretien ???

Pourquoi ne pas prévoir ces périodes de traitement et de repos pendant les vacances scolaires ?

Pourquoi ne pas prévenir les associations pour qu’elles aient le temps de s’organiser ?

Et enfin, pourquoi ne pas solliciter les villages voisins, notamment ceux de la même communauté de communes, qui ont fait le choix d’un gazon synthétique, pour qu’ils proposent des créneaux aux associations pugétoises en attendant que notre stade soit accessible.

Les Associations sont essentielles à notre qualité de vie, il serait bien de les aider à pérenniser leur activité ! Elles sont animées par des bénévoles qui n’ont pas le temps de gérer dans l’urgence ce genre de situation. Une aide de la Mairie semblerait évidente cette année et plus d’organisation pour l’année prochaine ???

A bon entendeur !